Le bureau des plaintes - 2e partie
Ou... Du professionalisme et du charme des vieux apparts parisiens
Alors, vous vous souvenez? L'ordinateur qui ne fonctionne plus... La télé qui saute... Eh bien, sachez que par la suite, notre four acheté en juin a cessé de fonctionner et que le chauffe-eau (neuf) a cessé de remplir sa fonction. Ce dernier événement remonte à neuf jours exactement et là, quand même, on s'est dit que ce n'était pas juste ma poisse habituelle avec les électros, mais qu'il y avait carrément un problème d'électricité dans notre petit trois-pièces au charme d'antan. Tout ça en pleine grève des transports, qui apparamment empêchait l'électricien de l'immeuble de se frayer un chemin jusque sur notre rue où forcément il ne pourrait pas se garer. Il nous avait donné rendez-vous ce soir. Est-ce la mauvaise qualité généralisée des services qui m'a soufflé cette vilaine pensée? Je ne sais pas, mais elle était là : "Tu parles! Il ne se pointera pas!" Et bingo! Il est 22 h 39, et la douche dont je rêvais n'est plus qu'un mirage. (N'ayez crainte, nous continuons de nous laver, mais "à la mitaine", comme on dit. Le grand bonheur quoi!) Vous me trouvez peut-être médisante au sujet de la qualité des services, mais mon ordinateur est chez un sous-traitant de Toshiba depuis un mois, et ils se sont dit "surpris" quand je les ai appelés pour la seconde fois aujourd'hui, mais incapables de me dire où en était le fameux devis, et on ne parle pas encore de la réparation. C'est sans compter les caissières de notre grand magasin préféré, qui font systématiquement des erreurs sur nos options de paiement. Heureusement que j'ai de quoi me remonter le moral entre deux déceptions pratico-pratiques :
(Photo faite hier à la galerie des enfants du centre Pompidou...)