Seize heures à Bordeaux (dont huit à dormir)
Après Montpellier, notre périple nous a menés à Bordeaux. J'ai d'abord été frappée, en longeant les quais en voiture, par ce que j'ai perçu comme une influence anglaise dans l'architecture. Nous avions retenu une chambre près de la porte Dijeaux et nous y sommes rendus sans mal, malgré l'étroitesse des rues. Les pierres bordelaises ont une teinte chaude. Ça sent encore le sud. Une ville bien européenne, avec un vrai centre et des rues sinueuses, une ville bien conservée, une ville bien restaurée. Nous avons été sous le charme...
De notre chambre, nous avions vue sur les toits, dont les couleurs sont tout à fait exemplaires de la ville.
Un détail de la porte Dijeaux
Une porte, d'habitation cette fois
Le street art est au rendez-vous.
J'aime bien le côté chic décati de certaines devantures. Il m'évoque la Nouvelle-Orléans.
Mon heurtoir préféré de l'été
Une vue un tout petit peu plus large
Le fameux miroir d'eau, devant la Garonne. J'imagine bien Micha s'y amusant. Fait incroyable, nous y avons croisé le seul Parisien ayant vécu à Bordeaux que nous connaissions (un voisin de notre immeuble), alors qu'il passait par là en vélo (devons-nous le prendre comme un signe du destin?).
Une autre vue du centre
Détail d'une devanture
Toujours le centre. Notez les coquets lampadaires de cuivre.
Des mascarons, les jolis lampadaires et des reflets de couleur
Une vue qui me plaît, celle de la rue du Loup
Et pour finir, toujours les toits depuis notre chambre, mais au matin